Musée de la photographie: l’histoire de Madagascar par l’image

Une nouvelle attraction touristique ouvrira bientôt ses portes à Antananarivo. Après cinq ans d’existence virtuelle, le Musée de la Photographie de Madagascar accueillera ses visiteurs à la Maison des Maires,…

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Tourisme : Venise célèbre le mariage de l’Union européenne et de la Chine

La Chine, l’Union européenne et les chefs d’entreprise donnent le coup d’envoi de l’année du tourisme UE-Chine à Venise Quelques jours après la première visite d’Etat d’Emmanuel Macron en Chine,…

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Antsiranana – Les bateaux de croisière reviennent

Le tourisme reprend du poil de la bête avec les escales programmées de croisiéristes. Ainsi, le paquebot Costa Neo Riviera arrive ce jour avec un millier de touristes à bord. Depuis la semaine dernière, les activités croisiéristes reprennent avec la venue du bateau de croisière allemand Aida Aura. Après la déclaration de l’épidémie de peste, dix-huit touchers de paquebots de ce genre ont été annulés. Malgré ces suspensions d’escale, la fidèle compagnie Costa Croisière qui  fréquente régulièrement le port d’Antsiranana ne manquera pas son rendez-vous, cette saison, avec trois touchers jusqu’au 26 février prochain. Ce jour, le paquebot Costa Neo Riviera est attendu dans la capitale du  Nord avec ses 1 121 touristes fortunés, de diverses nationalités, qui y débarqueront et feront escale, pour une grande première, durant deux jours. Avant  c’était seulement  pour la journée. Cette fois, des animations culturelles et artistiques se tiendront devant l’Hôtel de ville avec les prestations d’artistes locaux et de grosses pointures nationales comme Tence Mena et Jean Marc. En outre, une soirée nocturne sera organisée et la rue Colbert deviendra alors piétonne. La population antsiranaise aura droit à un feu d’artifices. Comme  à l’accoutumée, les autorités locales seront accueillies à bord du paquebot pour un déjeuner et une délégation conduite par le ministre du Tourisme, Roland Ratsiraka, fera le déplacement dans le Nord pour honorer cette invitation. Sécurité renforcée Les croisiéristes visiteront plusieurs sites touristiques de la Diana, lors de tours souvent organisés en collaboration avec plusieurs partenaires de la région. Ils seront accompagnés de guides touristiques locaux. L’accent sera mis sur une sécurité renforcée. Une centaine d’éléments mixtes seront à  mobiliser durant le week-end. Lors d’une réunion du comité de croisière, tenue hier à la Résidence de la région Diana, les autorités administratives se sont penchées sur les situations susceptibles de mettre en péril les croisiéristes. « Nous devrons prouver aux croisiéristes que la ville d’Antsiranana est attirante. Nous allons aussi leur démontrer que naviguer sur l’océan Indien sans faire escale dans la capitale du Nord serait dommageable et très regrettable pour eux », a indiqué le préfet d’Antsiranana, Arsène Banoma Selon les estimations, quelques heures d’escale rapportent aux opérateurs des secteurs du tourisme, du transport et de l’artisanat de la ville au moins 40 000 euros grâce aux frais d’excursion et de restauration d’un millier de croisiéristes. Source : Raheriniaina - Antsiranana – Les bateaux de croisière reviennent

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Les résultats 2017 du tourisme international au plus haut des sept dernières années

Selon le dernier Baromètre OMT du tourisme mondial, les arrivées de touristes internationaux ont bondi d’un remarquable 7% pour atteindre un total de 1,322 milliard. Ce vigoureux élan devrait se…

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Il faut faciliter l’accès à l’emploi pour les nouveaux diplômés, selon le ministre Roland Ratsiraka.

Madagascar : Conjoncture – Le tourisme relève la tête

Après avoir fléchi à la suite de l’épidémie de peste au dernier trimestre 2017, le secteur touristique se porte nettement mieux.  Après la pluie, le beau temps. Destination boudée durant l’épidémie de peste, Madagascar commence maintenant à regagner sa place auprès des croisiéristes. L’arrivée des paquebots ces derniers temps en témoigne. «Le bateau de croisière Aida Aura  avec plus d’un millier  de passagers fera escale à Nosy Be demain (ndlr : ce jour), avant de rejoindre le port d’Antsiranana», a déclaré le ministre du Tourisme, Roland Ratsiraka hier, à son bureau à Tsimbazaza. Le secteur touristique peut être soulagé à l’annonce de cette nouvelle. L’embargo imposé par les îles voisines comme les Seychelles ou l’île Maurice a obligé les compagnies de croisière de s’éloigner des côtes malgaches. Maintenant la donne à changé. Ces îles de l’océan Indien ont levé cette interdiction et les touchers de paquebots commencent à se faire sentir dans les ports d’escale. Les touchers d’un paquebot de croisière sont une véritable manne financière pour ces villes touristiques. C’est une réelle fête qui attend les croisiéristesdans ces lieux d’escale comme Nosy Be, Antsiranana ou encore Toamasina. Toute la population est mobilisée pour accueillir les croisiéristes. Toamasina exclue «Ces touristes sont là pour dépenser. Au moins, leur arrivée générera une recette allant jusqu’à 200 000 euros», soutient le patron du tourisme à Madagascar. Ce sera ainsi le cas pour les deux villes du Nord. Mais cette fois-ci la ville de Toamasina sera absente de la carte de ces touristes. «Les plaies laissées par le passage du cyclone Ava ne permettent pas encore à la ville de Toamasina d’accueillir ces touristes internationaux. De nombreuses infrastructures d’accueil ont été endommagées. L’alimentation en électricité n’est pas encore rétablie à 100%», regrette l’ancien maire de  Toamasina devant la presse. L’épidémie de peste a beaucoup impacté le secteur touristique. De nombreuses annulations ont été observées auprès des professionnels du secteur touristique. Le ministère parle de 10% des cas. Bien que l’année 2018 commence plutôt bien pour le secteur touristique avec cette nouvelle, les opérateurs, quant à eux, affichent leur déception. Pour la saison 2018, Madagascar n’aura droit  qu’à onze paquebots, jusqu’au mois de mars, au lieu de dix huit ou vingt. Source : Lova Rafidiarisoa - Conjoncture – Le tourisme relève la tête

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Tourisme et hôtelière – Un début d’année laborieux

Au ralenti. Il est bien connu que le secteur touristique n’a jamais enregistré sa meilleure performance en début d’année dans des pays tropicaux comme la Grande île. La basse saison n’est pourtant pas une fatalité en soi pour cette activité qui contribue à hauteur de plus de 12% sur le produit intérieur brut du pays. Malgré un ralentissement ressenti dans presque toutes les régions de l’île sur la période entre les mois de janvier et mars, surtout sur les régions côtières, le secteur n’est pas pour autant à l’arrêt. Après s’en être sorti, plus ou moins indemne face à l’épidémie de la peste il y a quelques mois, le secteur du tourisme et de l’hôtellerie fait à présent face à des voyants presque au rouge pour les quelques mois à venir. Avec l’annonce d’une saison cyclonique assez conséquente, une basse saison encore marquée par les séquelles de l’épidémie. De nombreux hôteliers et acteurs majeurs dans le secteur touristique songent à opter pour la carte de la prudence. « Nous avons eu beaucoup de mal à remettre les pendules à l’heure après la pénalisation sanitaire de l’année dernière. Pour tout dire, la restructuration n’est pas encore entièrement achevée. L’annonce de cette météo plus que défavorable nous est tombée dessus tel un coup de massue. Raison pour laquelle nous avons décidé de ne rouvrir qu’à la prochaine saison haute histoire de limiter les dégâts », nous confie le responsable vente et approvisionnement d’un village de vacances situé sur une île privée dans le nord du pays. Surbooké Ce responsable explique que la société assurant la gestion de l’île a choisi de déclarer complet sur les sites de réservations comme booking.com au lieu d’accepter uniquement deux ou trois clients pour enregistrer des taux d’occupation quasi-nulle. La raison de cette stratégie s’explique surtout par la limitation maximale des frais de fonctionnement des établissements en basse saison. Une manière de prendre du recul afin de mieux aborder les prochaines saisons rush tout en préservant les infrastructures et surtout l’image positive de leur établissement. « Chaque année, nous nous sommes toujours préparés pour faire face à la saison cyclonique. Cependant, pour celle qui arrive, les services de météorologie ainsi que le bureau national des gestions des risques et catastrophes annoncent des conditions beaucoup plus rudes que les années précédentes, c’est la goutte qui a fait déborder le vase », conclut le responsable du village de vacances. Nombreux acteurs touristiques se retrouvent dans le même cas que ce dernier et espèrent que des mesures seront prises par les autorités compétentes afin de sauver les meubles pour la prochaine saison. Source : Harilalaina Rakotobe - Tourisme et hôtelière – Un début d’année laborieux

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