Tourisme et hôtelière – Un début d’année laborieux

Au ralenti. Il est bien connu que le secteur touristique n’a jamais enregistré sa meilleure performance en début d’année dans des pays tropicaux comme la Grande île. La basse saison n’est pourtant pas une fatalité en soi pour cette activité qui contribue à hauteur de plus de 12% sur le produit intérieur brut du pays. Malgré un ralentissement ressenti dans presque toutes les régions de l’île sur la période entre les mois de janvier et mars, surtout sur les régions côtières, le secteur n’est pas pour autant à l’arrêt. Après s’en être sorti, plus ou moins indemne face à l’épidémie de la peste il y a quelques mois, le secteur du tourisme et de l’hôtellerie fait à présent face à des voyants presque au rouge pour les quelques mois à venir. Avec l’annonce d’une saison cyclonique assez conséquente, une basse saison encore marquée par les séquelles de l’épidémie. De nombreux hôteliers et acteurs majeurs dans le secteur touristique songent à opter pour la carte de la prudence. « Nous avons eu beaucoup de mal à remettre les pendules à l’heure après la pénalisation sanitaire de l’année dernière. Pour tout dire, la restructuration n’est pas encore entièrement achevée. L’annonce de cette météo plus que défavorable nous est tombée dessus tel un coup de massue. Raison pour laquelle nous avons décidé de ne rouvrir qu’à la prochaine saison haute histoire de limiter les dégâts », nous confie le responsable vente et approvisionnement d’un village de vacances situé sur une île privée dans le nord du pays. Surbooké Ce responsable explique que la société assurant la gestion de l’île a choisi de déclarer complet sur les sites de réservations comme booking.com au lieu d’accepter uniquement deux ou trois clients pour enregistrer des taux d’occupation quasi-nulle. La raison de cette stratégie s’explique surtout par la limitation maximale des frais de fonctionnement des établissements en basse saison. Une manière de prendre du recul afin de mieux aborder les prochaines saisons rush tout en préservant les infrastructures et surtout l’image positive de leur établissement. « Chaque année, nous nous sommes toujours préparés pour faire face à la saison cyclonique. Cependant, pour celle qui arrive, les services de météorologie ainsi que le bureau national des gestions des risques et catastrophes annoncent des conditions beaucoup plus rudes que les années précédentes, c’est la goutte qui a fait déborder le vase », conclut le responsable du village de vacances. Nombreux acteurs touristiques se retrouvent dans le même cas que ce dernier et espèrent que des mesures seront prises par les autorités compétentes afin de sauver les meubles pour la prochaine saison. Source : Harilalaina Rakotobe - Tourisme et hôtelière – Un début d’année laborieux

Continuer la lectureTourisme et hôtelière – Un début d’année laborieux

Remerciements aux collaborateurs 2017 de Madagascar Hôtel Consultant

Chers amis bonjour, L’année 2017 vient de fermer ses portes et 2018 s’ouvre à nous pour de nouveaux challenges. Je voudrais pour commencer cette année nouvelle, adresser de très chaleureux…

Continuer la lectureRemerciements aux collaborateurs 2017 de Madagascar Hôtel Consultant

Madagascar : un colloque international sur la protection des lémuriens

Le groupe d’études et de recherche sur les primates (GERP) organise depuis le 13 décembre 2017 un colloque international sur la protection des lémuriens de Madagascar. Les débats seront focalisés sur la…

Continuer la lectureMadagascar : un colloque international sur la protection des lémuriens

National Geographic Traveler : Madagascar fait partie des plus belles destinations 2018

La Grande île reste l’une des destinations préférées des voyageurs et touristes venus des quatre coins du monde. Bénéficiant d’une renommée internationale, le pays des lémuriens a vu progresser d’années…

Continuer la lectureNational Geographic Traveler : Madagascar fait partie des plus belles destinations 2018